Remerciements

Mes immenses remerciements à mon adorable épouse Carolyn Clink ; à Ginjer Buchanan du Penguin Group (USA) à New York ; à Laura Shin, Nicole Winstanley et David Davidar du Penguin Group (Canada) à Toronto ; et à Stanley Schmidt du magazine Analog Science Fiction and Fact. Tous mes remerciements à mon agent Ralph Vicinanza et à ses associés Christopher Lotts et Eben Weiss, et aux gestionnaires de contrats Lisa Rundle (Penguin Canada) et John Schline (Penguin USA), qui ont tous énormément travaillé pour aboutir à un accord de publication particulièrement complexe.

Ce livre a bénéficié de discussions formidables au cours du Sci Foo Camp, patronné par O’Reilly Media et qui s’est tenu en août 2006 au Googleplex à Mountain View, Californie. Parmi les participants à ma session, il y avait Greg Bear, Stuart Brand, Barry Bunin, Bill Cheswick, Esther Dyson, John Gage (directeur des recherches de Sun Microsystems), Sandeep Garg, Luc Moreau, le cofondateur de Google Larry Page, Gavin Schmidt et Alexander Tolley ; j’ai eu également d’excellentes remarques formulées après la conférence par Zack Booth Simpson, de Mine-Control.

Merci à David Goforth, Ph.D., du département de mathématiques et sciences informatiques de l’université Laurentienne, et à David Robinson, Ph.D., du département d’économie de l’université Laurentienne, pour leurs nombreuses et excellentes suggestions. Et merci à l’anthropologue H. Lyn Miles, Ph.D., de la Chantek Foundation au sein d’ApeNet, qui a acculturé l’orang-outan Chantek. Merci également au cogniticien David W. Nicholas pour ses nombreux commentaires et discussions stimulantes.

Merci à Betty Jean Reid et Carolyn Monaco du Programme d’intervenants auprès des sourds-muets, au George Brown Collège de Toronto, le premier et le plus important effort de ce genre dans le monde ; à Patricia Grant, directrice et responsable des services d’intervenants du Centre Helen Keller canadien à Toronto ; à John A. Gardner, Ph.D., professeur émérite de physique à l’université d’État de l’Oregon et fondateur de ViewPlus Technologies, Inc. ; et à Justin Leiber, Ph.D., du département de philosophie de l’université de Houston, auteur de l’article : « Helen Keller, cogniticienne » (Philosophical Psychology, vol. 9, n°4, 1996).

Mes remerciements tout particuliers à mon regretté ami Howard Miller (1966-2006), qui était sourd et aveugle, et dont j’ai fait la connaissance en ligne en 1992, avant de le rencontrer en personne en 1994. Il a influé de tant de façons sur ma vie, et sur celle de tant d’autres personnes.

Merci à mon remarquable ophtalmologiste, le Dr Gerald I. Goldlist ; à Edmund R. Meskys ; à Guido Dante Corona du Human Ability and Accessibility Center d’IBM Research, à Austin, Texas ; et aux membres de la mailing list de Blindmath dont les noms suivent, qui ont lu le manuscrit de ce roman et m’ont donné leurs commentaires : Sina Bahram, Mr. Fatty Matty, Ken Perry, Lawrence Scadden, et Cindy Sheets. Merci aussi à Bev Geddes de l’École pour sourds du Manitoba.

Je remercie également tous ceux qui ont répondu à mes questions, accepté de discuter de mes idées et contribué d’autres façons encore, et en particulier : R. Scott Bakker, Paul Bartel, Asbed Bedrossian, Barbara Berson, Ellen Bleaney, Ted Bleaney, Nomi S. Burstein, Linda C. Carson, David Livingstone Clink, Daniel Dern, Ron Friedman, Marcel Gagne, Shoshana Glick, Richard Gotlib, Peter Halasz, Elisabeth Hegerat, Birger Johansson, Al Kate-rinsky, Herb Kauderer, Shannon Kauderer, Fiona Kelleghan, Valérie King, Randy McCharles, Kirstin Morrell, Ryan Oakley, Heather Osborne, Ariel Reich, Alan B. Sawyer, Sally Tomasevic, Elizabeth Trenholm, Hayden Trenholm, Robert Charles Wilson et Ozan S. Yigit.

Nombreux remerciements aux membres de mon groupe d’écrivains, les Senior Pajamas : Pat Forde, James Alan Gardner et Suzanne Church. Merci aussi à Danita Maslankowski, qui organise deux fois par an les séminaires « Write-Off » pour l’Imaginative Fiction Writers Association de Calgary, au cours desquels beaucoup de travail a été réalisé sur ce roman.

Le terme introduit dans le dernier chapitre de ce livre a été imaginé par Ben Goertzel, Ph.D., l’auteur de Creating Internet Intelligence et actuellement directeur général et directeur scientifique de la société Novamente LLC (novamente.net) spécialisée dans l’intelligence artificielle ; je l’utilise ici avec son aimable autorisation.

Une liste de liens menant aux articles de Wikipédia brièvement cités dans le roman est disponible sur sfwriter.com/ wikicite.htm.

Pour ceux qui, après avoir lu La Naissance de la conscience dans l’effondrement de l’esprit, souhaiteraient en savoir plus sur son auteur, je suggère de visiter le site de la Julian Jaynes Society (dont je fais partie) à julian-jaynes.org.

J’ai écrit une grande partie de ce roman pendant les trois mois fabuleux que nous avons passés, ma femme et moi, dans la Berton House Writers’ Retreat. Berton House, la maison d’enfance du célèbre écrivain canadien Pierre Berton, se trouve à Dawson City – le cœur de la grande ruée vers l’or du Klondike, dans le Yukon – juste en face de la cabane de Robert Service, et non loin de celle de Jack London. La directrice de ce refuge pour écrivains est Eisa Franklin. Dan Davidson et Suzanne Saito se sont occupés de nous à Dawson.

Et enfin, je remercie les 1 300 membres de mon groupe de discussion sur Internet, qui m’ont accompagné pendant la création de ce roman.

N’hésitez pas à vous joindre à nous à :

www.groups.yahoo.com/group/robertjsawyer

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