J’aimerais exprimer ma gratitude aux personnes suivantes :
D’abord et avant tout à mon éditeur et ami Jason Kaufman, pour son regard avisé, son intuition sans faille, son opiniâtreté dans le travail… mais surtout pour son humour et pour avoir compris ce que je voulais accomplir avec mes romans.
À mon agent et amie Heide Lange pour avoir été mon guide éclairé dans ma carrière, qui a toujours montré tant d’enthousiasme, d’énergie et d’attention. À jamais, je lui serai reconnaissant pour ses talents innombrables et son implication.
À mon ami Michael Rudell, pour ses sages conseils et sa gentillesse sans pareille.
À toute l’équipe de Doubleday et Penguin Random House, je voudrais exprimer ma gratitude pour la confiance qu’ils me portent depuis des années, en particulier à Suzanne Herz, pour son amitié et pour avoir suivi toutes les étapes de la fabrication de cet ouvrage avec autant d’acuité et de réactivité. Un grand merci aussi à Markus Dohle, Sonny Mehta, Bill Thomas, Tony Chirico, et Anne Messitte pour leur soutien et leur patience infinie.
Ma reconnaissance aussi pour Nora Reichard, Carolyn Williams et Michael J. Windsor qui se sont dépensés sans compter, et pour Rob Bloom, Judy Jacoby, Lauren Weber, Maria Carella, Lorraine Hyland, Beth Meister, Kathy Hourigan, Andy Hughes, et toute l’équipe commerciale de Penguin Random House.
À toute l’équipe de Transworld pour leur créativité perpétuelle et leur savoir-faire en matière d’édition, en particulier à Bill Scott-Kerr, pour sa gentillesse et son soutien sur tous les fronts.
À tous mes éditeurs étrangers, mes plus sincères remerciements pour avoir cru en mes romans et aidé à les faire connaître.
Aux valeureux traducteurs à travers le monde qui ont travaillé d’arrache-pied pour offrir cet ouvrage à tant de pays différents. Merci pour votre temps, votre talent, et votre application.
Aux équipes de Planeta, mon éditeur espagnol, pour leur aide dans l’organisation du pool de traduction de ce roman. Je pense à la merveilleuse Elena Ramirez, ainsi qu’à María Guitart Ferrer, Carlos Revés, Sergio Álvarez, Marc Rocamora, Aurora Rodríguez, Nahir Gutiérrez, Laura Díaz, Ferrán Lopez. Un grand merci au P-DG Jesús Badenes pour son soutien, son hospitalité et ses efforts touchants pour m’apprendre à faire la paella.
En plus de ceux qui ont géré ce pool de traduction, j’aimerais remercier Jordi Luñez, Javier Montero, Marc Serrate, Emilio Pastor, Alberto Barón et Antonio López.
À l’infatigable Mónica Martín et à son équipe de la MB Agency, en particulier à Inés Planells et Txell Torrent, pour leur aide à Barcelone et ailleurs.
À tous les gens chez Sanford J. Greenburger Associates — et plus particulièrement à Stephanie Delman et Samantha Isman, pour leur dévouement… nuit et jour.
Durant ces quatre années passées, scientifiques, historiens, conservateurs, représentants religieux m’ont offert gracieusement leur aide pour mes recherches. Les mots me manquent pour leur exprimer ma reconnaissance. Merci pour leur générosité, leur savoir, et leur ouverture d’esprit.
À l’abbaye de Montserrat, j’aimerais remercier les moines et le personnel qui ont rendu ma visite si passionnante. J’ai une pensée particulière pour Pare Manel Gasch, Josep Altayó, Òscar Bardají et Griselda Espinach.
Au Centro Nacional de Supercomputación de Barcelone, j’aimerais remercier l’équipe de scientifiques qui m’ont fait partager leurs idées, leur monde, leur enthousiasme, et surtout leur vision optimiste de l’avenir. Je pense en particulier au directeur Mateo Valero, Josep Maria Martorell, Sergi Girona, José Maria Cela, Jesús Labarta, Eduard Ayguadé, Francisco Doblas, Ulises Cortés, et Lourdes Cortada.
Au musée Guggenheim de Bilbao, toute ma gratitude à ceux qui par leur connaissance et leur sensibilité artistique m’ont permis de mieux comprendre et d’apprécier l’art contemporain. Un grand merci au directeur Juan Ignacio Vidarte, à Alicia Martínez, Idoia Arrate et María Bidaurreta pour leur hospitalité et leur disponibilité.
Aux conservateurs et guides de la magique Casa Milà. Merci pour leur accueil et pour m’avoir montré en quoi La Pedrera est unique au monde. Mention spéciale à Marga Viza, Sílvia Vilarroya, Alba Tosquella, Lluïsa Oller, ainsi qu’à la résidente Ana Viladomiu.
J’aimerais aussi remercier les membres du Palmar de Troya Palmarian Church Support et Information Group, l’ambassade des États-Unis en Hongrie, et l’éditeur Berta Noy.
Toute ma reconnaissance aussi aux chercheurs et futurologues que j’ai rencontrés à Palm Springs dont l’esprit visionnaire a grandement influencé ce livre.
Pour leur regard et leur avis éclairés tout au long de l’écriture de cet ouvrage, je voudrais remercier mes premiers lecteurs : Heide Lange, Dick et Connie Brown, Blythe Brown, Susan Morehouse, Rebecca Kaufman, Jerry et Olivia Kaufman, John Chaffee, Christina Scott, Valerie Brown, Greg Brown, et Mary Hubbell.
À Shelley Seward pour son expertise et sa vigilance, sur un plan professionnel comme personnel, et pour avoir pris mes appels à 5 heures du matin.
À Alex Cannon, mon fidèle gourou du numérique qui s’occupe si bien de ma communication sur le web, les réseaux sociaux et le monde virtuel en général.
À mon épouse Blythe, qui continue de partager avec moi sa passion de l’art, son goût de la création, et dont les multiples talents sont pour moi une source intarissable d’inspiration.
À ma secrétaire particulière Susan Morehouse pour son amitié, sa patience, et l’étendue saisissante de ses compétences. Merci d’avoir fait voguer le navire sans anicroche.
À mon frère, le compositeur Greg Brown, dont la Missa Charles Darwin, une œuvre de fusion du passé et du moderne, a été l’étincelle de vie pour la genèse de ce roman.
Et enfin, je voudrais exprimer ma gratitude, mon respect et mon amour à mes parents — Connie et Dick Brown — pour m’avoir appris à être toujours curieux, à poser toutes les questions, même les plus difficiles.