Des lattes maintiennent rigides les voiles selon des lignes parallèles donnant l’impression de nervures. Telles celles des jonques. (N.d.T.)
Les Hailènes : les Avant-Courriers ou encore Ceux-qui-arrivent-les-premiers.
De la variété Urtica urens, dite aussi petite-ortie et ortie-grièche. (N.d.T.)
C’est le Daes Dae’mar, appelé également le Grand Jeu. (N.d.T.)
En français dans le texte.
Un «steppeur» est un cheval qui trotte avec vivacité en levant haut les membres antérieurs, selon la définition du Petit Larousse. (N.d.T.)
Se dit de l’encolure d’un cheval dont le bord supérieur est convexe. (N.d.T.)
Les Aiels, on s’en souvient, appellent le combat « la danse ». Ils ne se battent pas, ils « dansent la danse des lances ».
Les sceaux apposés sur la prison du Ténébreux.
Cf. tome 1 de La Roue du Temps.
Un dicton que Lan a enseigné à Rand : La mort est plus légère qu une plume, le devoir plus lourd qu’une montagne.
Le Sang, c’est-à-dire l’aristocratie des Seanchans, descendants des armées envoyées à la conquête des terres situées de l’autre côté de l’Océan d’Aryth par Artur Aile-de-Faucon : in La Bannière du Dragon, tome 4 de La Roue du Temps.
Cf. La Roue du Temps, tome 1.
Cf. La Roue du Temps, tome 1.
Cf. chapitre 27 : Un Abri dans la tempête dans La Roue du Temps, tome 1.
Egeanine se retient de dire qu’elles appartiennent au Sang, terme appliqué à l’aristocratie au pays des Seanchans.
Le Sang, terme que les Seanchans appliquent à la classe dirigeante aristocratique, aux « nobles ». Cet homme est un Seanchan (comme l’indiquent ses yeux bleus) et un agent secret qui surveille Egeanine.
Cf. Le Dragon Réincarné, tome 3, ch. 15.
On s’en souvient, c’est la salle centrale de la forteresse de la ville de Tear appelée « la Pierre de Tear ».