Avant de travailler, tous les matins, un espresso et « Turbulence », de Steve Howe. Pour Mars la Rouge, Satyagraha, de Glass. Pour Mars la verte, Ahknaten. Pour Mars la Bleue, Mishima et The Screens. Pour Maya, Astor Piazzolla, et surtout « Tango : Zéro Hour ». Pour Ann, la Troisième symphonie de Gorecki, « Sun Singer » de Paul Winter et « Sakura », le chant populaire japonais. Pour Sax, les derniers quartets à corde et les sonates de Beethoven. Pour Nadia, Louis Armstrong, la période 1946-56, Clifford Brown et Charles Mingus. Pour Michel, le « Köln Concerto » de Keith Jarrett. Pour Nirgal, Najma. Et toujours Van Morrison, Pete Townshend et Yes.
Van quand je suis content
Pete quand je pète les plombs
Steve quand j’ai la pêche
Et quand je suis triste, Astor.