Il est venu et les feux redoutables se sont rallumés.
Les collines brûlent et la campagne se dessèche.
Les flots des humains s’épuisent, et les heures diminuent.
Percé est le mur et levé le voile de la séparation. Des orages grondent par-delà l’horizon et les feux du ciel purifient la terre. Il n’y a pas de salut sans destruction, pas d’espoir avant la mort.