C’est-à-dire à la robe gris jaunâtre comme celle des loups. (N.d.T.)
Dans L’Œil du Monde, premier volume qui donne son titre au cycle, quand l’Aes Sedai Moiraine emmène du bourg, le Champ d’Edmond, au pays des Deux Rivières en Andor, trois jeunes gens – Rand, Mat et Perrin – pour les soustraire aux forces de l’Ombre, car ils sont « Ta’veren » et voués selon les prophéties à aider au triomphe de la Lumière sur l’Ombre –, au cours de cette fuite, Perrin s’est découvert une affinité avec les loups. Il peut communiquer avec eux et même ses yeux de bruns ont viré au jaune comme les leurs. Cependant, de peur de perdre son identité humaine, Perrin résiste à se servir de ce don… autant que les circonstances le permettent ; néanmoins, il a acquis leur instinct, leur flair et leur acuité de vision. N’empêche que les loups, qui l’ont surnommé Jeune Taureau, demeurent ses fidèles alliés. C’est ce qui explique les réflexions de Perrin et certaines ambiguïtés du texte pour qui ne se souviendrait pas de la métamorphose du jeune forgeron. (N.d.T.)
Au temps où l’on estimait devoir éduquer les jeunes enfants, le châtiment classique pour celui ou celle qui tenait des propos insolents ou malsonnants était de les obliger à se laver la bouche avec du savon. Ou du moins les en menaçait-on. (N.d.T.)
Ce manteau est caractéristique de la profession. Voir L’Œil du Monde. (N.d.T.)
Voir Glossaire.
Par des moyens magiques. Voir les volumes précédents. (N.d.T.)
Encore tout jeune louveteau. Sauteur (d’où son nom) s’élançait pour imiter les aigles dont il enviait le vol majestueux dans le ciel. Voir L’Œil du Monde. (N.d.T.)
Pour attirer à soi la saidar et exercer le Pouvoir Unique, on s’en souvient, il faut faire le vide dans son esprit par l’une ou l’autre méthode, dont celle d’évoquer un bouton de rose qui s’épanouit, enseignée à Egwene. Voir L’Œil du Monde. (N.d.T.)
Les yeux de Perrin, on s’en souvient, ont changé de couleur et pris celle jaune d’or des loups, ce qui provoque la curiosité, l’inquiétude et parfois des réactions violentes chez ceux qui s’en aperçoivent et qui y voient la menace de la magie. (N.d.T.)
Voir dans la L’Œil du Monde, premier volume de la série, la rencontre de Perrin avec les Tuatha’ans – ou Rétameurs – membres du peuple Voyageur. (N.d.T.)
Le don d’une Rêveuse lui permet de voir en songe scènes du présent et de l’avenir, de prophétiser, d’avertir et de mettre en garde. (N.d.T.)
Voir L’Œil du Monde : les méthodes de concentration pour atteindre la saidar et entrer en communication avec le Pouvoir Unique. (N.d.T)
Les Ogiers, on s’en souvient, aiment les arbres et chaque fois qu’ils quittent leur résidence – leur stedding – pour aller œuvrer quelque part, ils ont planté des bosquets leur rappelant leur stedding pour combattre le mal du pays. (Voir L’Œil du Monde). (N.d.T.)
À la fin de son apprentissage, on s’en souvient, l’apprenti ne passait compagnon qu’après avoir réalisé quelque chose concernant son métier : son « chef-d’œuvre » ; autrement dit : Perrin, bien que se disant apprenti, a acquis l’habileté d’un maître compagnon. (N.d.T.)
Voir Le Cor de Valère, ch. 40 où Egwene était tombée aux mains des Seanchans par la trahison de membres de l’Ajah Noire. (N.d.T.)
On s’en souvient, un écran fait d’invisibles fils magiques s’interpose entre la Vraie Source et les femmes capables d’entrer en contact avec elle, empêchant celles-ci de se servir du Pouvoir Unique. (N.d.T.)