C’est-à-dire qui a su par elle-même maîtriser la Saidar sans avoir reçu aucune formation de la Tour – jusqu’à un certain point dans le cas de Nynaeve. Les Irrégulières sont souvent mal vues par les Aes Sedai ayant suivi la filière classique
Voir tomes 2 et 3 (et autres) de La Roue du Temps. Sur ce Cor magique est écrit en Ancienne Langue : « La tombe n’est pas un obstacle à mon appel » – c’est-à-dire, que les Compagnons morts d’Artur Aile-de-Faucon ressusciteront quand quelqu’un en sonnera pour combattre et vaincre le Ténébreux lorsque se déclenchera la Tarmon Gai’don – la Dernière Bataille.
Coutume – ou peut-être loi : quand les Aiels s’emparent d’une place forte ennemie, ils prélèvent le cinquième de tout ce qu’elle contient à l’exception de ce qui est nourriture.
Allusion au dicton que lui a enseigne Lan, le Lige de Moiraine : « La mort est plus légère qu’une plume, le devoir plus lourd qu’une montagne. »
Autrement dit : l’Assemblée nationale des Ogiers.
Faucon saur : d’un an avant la première mue, plumes rousses.
Avant-Courriers ou Avant-Coureurs : autre nom des Seanchans qui ont franchi l’océan d’Aryth pour « reconquérir » le continent d’où leurs ancêtres étaient partis au temps d’Artur Aile-de-Faucon.
Bitème : minuscule insecte piqueur.
« Ce ter’angreal » : un portail tors au-delà duquel Mat est allé interroger des êtres mystérieux qui lui ont prédit un curieux avenir.
Cf. Le Jeu des Ténèbres, tome 3 de La Roue du Temps : les trois jeunes filles capturées par des Aes Sedai de l’Ajah Noire et enfermées dans un cachot de la forteresse de Tear sont délivrées par Mat au cours de la bataille où Rand al’Thor, assisté des Aiels, conquiert cette place forte réputée invincible.
Irrégulière ou Sauvage est le qualificatif appliqué aux femmes qui ont appris seules à manier le Pouvoir.
Kiruna et Bera avaient été désignées pour aller à la recherche de Rand al’Thor censé être parti dans le Désert des Aiels.
L’ail a toujours été réputé capable de faire fuir en particulier les vampires, mais aussi d’autres êtres maléfiques.
Chez les Aiels, on s’en souvient, la vie est un rêve et le réveil, c’est mourir.
Les Rétameurs ou Tuatha’ans – le Peuple du Voyage – ont pour credo de refuser toute violence, même pour leur propre défense et survie, suivant en cela « la Voie de la Feuille » (soumission au destin) et pour rien au monde ne touchent à une épée. Après le massacre des siens, Aram a tourné le dos à cette foi qui transforme ses fidèles en moutons voués éternellement à être égorgés. Il en est révulsé. Il a attaché ses pas à Perrin. (Cf. La Roue du Temps, tome 1 et tome 8, Tourmentes).
Les Rétameurs – surnom des Tuatha’ans – sont, on s’en souvient – des pacifiques – allant jusqu’à mourir plutôt que de lever une main pour se défendre. Aram a été renié par les siens car il a choisi une voie différente.
C’est-à-dire Mat.