J’ai de nombreuses dettes dans la création de cette œuvre, dont certaines plus manifestes que d’autres.
Comme toujours, ma femme Kristine a été ma première lectrice ; mais pour le présent livre, l’a rejointe dans cette épreuve notre fils aîné, Geoffrey, qui s’est révélé un lecteur très pénétrant et un critique toujours à l’affût des détails. Les bons critiques sont trop rares, et je m’enorgueillis d’en avoir découvert un nouveau.
Je dois également remercier les nombreux amis qui travaillent avec moi sur d’autres projets et qui ont eu la patience d’attendre que j’aie fini ce roman avant de revenir enfin à d’autres travaux trop longtemps reportés. Et merci, encore et toujours, à mon agente, Barbara Bova, qui est la preuve vivante qu’on peut faire du bon travail avec une bonne amie.