J’aimerais une fois encore rendre hommage à l’inestimable contribution de Robin Furth, qui a lu le manuscrit de ce roman — mais aussi des précédents — avec une attention constante et une grande sensibilité aux détails. Si ce récit de plus en plus complexe maintient sa cohérence et se tient finalement debout, c’est en très grande partie grâce à Robin. Et si vous ne le croyez pas, allez ouvrir sa Concordance de La Tour Sombre, qui constitue en soi une lecture passionnante.
Tous mes remerciements vont également à Chuck Verrill, responsable de la mise en forme des cinq derniers romans, et aux trois éditeurs — deux grands et un petit — dont la coopération a permis de mener à bien ce projet gigantesque : merci à Robert Wiener (Éditions Donald M. Grant), à Susan Petersen Kennedy et Pamela Dorman (de chez Viking), et à Susan Moldow et Nan Graham (de chez Scribner). Avec ma reconnaissance particulière à Moldow, dont l’ironie et le courage m’ont bien souvent sauvé la mise, les jours sombres. Il y a d’autres personnes, beaucoup d’autres, mais je ne vais pas vous ennuyer avec une liste complète. Après tout, on n’est pas à ces putains d’Oscar, pas vrai ?
Certains détails géographiques dans ce roman et dans le dernier du cycle de La Tour Sombre sont fictifs. Les personnes réelles mentionnées dans ces pages l’ont été de manière et à des fins fictives. Et pour autant que je le sache, il n’y a jamais eu de consignes dans les sous-sols du World Trade Center.
Quant à toi, Fidèle Lecteur…
Plus qu’un dernier tournant sur le sentier, ensuite nous atteindrons la clairière.
Accompagne-moi, si cela te sied ?