NOTE DE L’AUTEUR

Je tiens à crier haut et fort la dette que j’ai auprès du western américain dans la composition des romans du cycle de La Tour Sombre. La dernière partie du nom de La Calla (bien que légèrement modifié) ne m’est sans doute pas venue par hasard. Il faut cependant souligner qu’au moins deux de mes sources d’inspiration ne sont pas du tout d’origine américaine. Sergio Leone (Pour une poignée de dollars, Le Bon, la Brute et le Truand…) était italien. Quant à Akira Kurosawa (Les Sept Samouraïs), il était bien entendu japonais. Ces livres auraient-ils été écrits sans l’héritage cinématographique de Kurosawa, Leone, Peckinpah, Howard Hawks, ou John Sturges ? Probablement pas sans Leone. Mais je dirais aussi que, sans les autres, il n’y aurait pu avoir Leone.

J’ai également une dette envers Robin Furth, qui a réussi à être présente avec toujours la petite information judicieuse chaque fois que j’en ai eu besoin, et bien sûr envers ma femme Tabitha, qui persiste à me donner tout le temps la lumière et l’espace dont j’ai besoin pour faire ce travail au mieux de mes capacités.

S.K.

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