Monsieur, notre affaire à nous, c’est le plomb.
D’abord les sourires, puis les mensonges. Et pour finir, la voix du canon.
Le sang qui coule en toi
Coule en moi,
Lorsque mon regard se pose sur le miroir,
C’est ton visage que je vois.
Prends ma main,
Repose-toi sur moi,
Car bientôt nous serons libres,
Jeune vagabond.