J’exprime ma gratitude à Carol Breakstone pour l’aide qu’elle m’a fournie dans mon enquête sur la magie traditionnelle chez les pionniers américains. Les renseignements qu’elle a découverts m’ont été une mine inépuisable où j’ai glané des idées de récits et des détails sur la vie quotidienne à l’époque de la colonisation des territoires du Nord-Est. Je me suis également abondamment servi des informations contenues dans A Field Guide to America’s History[3] de Douglass L. Brownstone (Facts on File, Inc.) et The Forgotten Crafts[4] de John Seymour, publié chez Knopf.
Scott Russel Sanders a apporté sa contribution en me mettant entre les mains un exemplaire de son savoureux cycle d’histoires Wilderness Plots : Tales about the Settlement of the American Land[5] chez Quill. Son travail m’a montré ce qu’on pouvait obtenir par un traitement réaliste de la vie sur la Frontière et m’a aidé en cours de route à maintenir mon projet d’Alvin le Faiseur dans la bonne direction. Et, bien qu’il ait disparu depuis longtemps, je garde une immense dette envers William Blake (1757–1827) pour avoir écrit des poèmes et des proverbes qui sonnent avec tant de bonheur dans la bouche de Mot-pour-mot.
Par-dessus tout, je suis reconnaissant à Kristine A. Card pour la qualité inappréciable de ses critiques, de ses encouragements, de son aide technique, de ses corrections d’épreuves et pour avoir toute seule fait de nos enfants des êtres humains réfléchis, bien élevés et d’un commerce agréable, qui pardonnent de bon cœur à leur père de ne pas toujours être, lui, un parangon de ces vertus.