Pour l’aide qu’ils ont apportée à la création de ce roman, je tiens à remercier :
Erin Absher, qui tenait bon la barre alors que la maison Card était en permanence sens dessus dessous, ce qui me permettait d’aller écrire les présentes histoires ;
Geoffrey Card, pour les trous dans les arbres qui conduisent aux tunnels souterrains ;
Mike Lewis et Dennis Child, pour la forme et la topographie des continents d’ici quarante millions d’années.
Clark et Kathy Kidd, pour votre table de salle à manger, la promenade à la plage avec une jambe cassée et pour avoir supporté quarante-huit soirées de conversation post-dînatoire ; ceux qui ont participé à ma séance de brassage d’idées lors du symposium de science-fiction à la BYU, où nous avons mis ensemble au point le principe de la culture symbiotique entre les fouisseurs et les anges ;
Kristine et Kathy, pour leurs réactions à la lecture des pages fraîchement crachées par le fax ; et Geoff, parce qu’il a voulu savoir ce qui se passait ensuite ; les citoyens de Hatrack River, mon quartier virtuel sur America Online, pour leurs critiques et leurs commentaires sur les précédents volumes et les chapitres du présent ouvrage au fur et à mesure que je les écrivais ;
Scott Allen, pour avoir réinstallé au moins six fois de suite de gros logiciels sur cinq ordinateurs différents ;
Kathleen Bellamy, pour avoir corrigé l’Exode juste avant que je ne commence d’écrire celui-ci, si bien qu’elle a pu me remettre en mémoire toutes les questions restées sans réponse ; et surtout Kristine et les enfants (Geoffrey, Emily, Charlie et la petite nouvelle, Zina), qui rendent ma vie digne d’être vécue et mon travail digne d’être accompli.